La Haute autorité de santé (HAS) veut contrôler davantage la sécurité de la chirurgie de l’obésité en évaluant les différentes techniques émergentes. La HAS, dont les avis déterminent les remboursements par la Sécu, est « défavorable » à celui « du bypass gastrique en oméga », a-t-elle annoncé dans un communiqué.