Conseils post-opératoires
Le patient entre à l’hôpital la veille au soir. Il est nécessaire de réaliser une anesthésie générale avec une sonde d’intubation spécifique qui permet pendant l’intervention de laisser le poumon opéré au repos.
Le patient entre à l’hôpital la veille au soir. Il est nécessaire de réaliser une anesthésie générale avec une sonde d’intubation spécifique qui permet pendant l’intervention de laisser le poumon opéré au repos.
Les risques et les conséquences liés à une chirurgie hépatique dépendent du geste opératoire (hépatectomie mineure versus majeure), de la qualité du foie sous-jacent (cirrhose, fibrose…), du patient (âge, obésité, antécédents cardio-pulmonaires et rénaux).
L’intérêt de la thoracoscopie (diminution de la douleur post-opératoire, la rapidité de récupération, diminution de la durée d’hospitalisation) a conduit à adapter la thoracoscopie) et la chirurgie Robotique à la chirurgie du poumon pour la plupart des cas sélectionnés.
La chirurgie du poumon est une chirurgie spécifique dont les complications peuvent être très graves même si elles ne sont pas fréquentes.
Ces complications diminuent lorsque les interventions sont réalisées par une équipe entraînée.
La fuite pulmonaire entrainant le bullage prolongé du drain et donc un prolongement du séjour, est assez fréquente et gérée facilement par de la patiente.
Des complications infectieuses sont régulières comme la pneumopathie, nécessitant un traitement antibiotique, une pleurésie ou un pyothorax nécessitant une reprise chirurgicale.
La surveillance commence dès le début de la prise en charge. Initialement, la surveillance permet de connaître l’efficacité des traitements (marqueurs, Pet-scan, poids, …), de mieux coordonner les différents traitements (chimiothérapie, chirurgie…) et de dépister les principales complications observées avec le traitement. Enfin la surveillance doit prévenir les séquelles tardives grâce à des mesures adaptées et précoces.
Ces opérations sont bien codifiées et de réalisation courante, mais comme dans toute opération chirurgicale certaines complications peuvent survenir :
On retrouve, dans la littérature un taux moyen de complications survenant pendant l’intervention faible. Les risques de l’intervention sont de deux types.
La première partie de la chirurgie consiste en une exploration complète de la cavité abdominale.
L’objectif de cette exploration est double, premièrement effectuer une cartographie de la lésion, et deuxièmement rechercher les causes de contre indications à une exérèse.
En effet en présence d’une atteinte du pédicule hépatique, ou du mésentère (intestin grêle), une chirurgie est contre indiquée.
Une fois la décision de chirurgie effectuée, on pratiquera une hystérectomie totale non conservatrice (ablation des ovaires), un curage pelvien.
Cette opération est bien codifiée et de réalisation courante, mais comme dans toute opération chirurgicale certaines complications peuvent survenir Il existe deux types de risques : les risques immédiats lors du geste ou survenant peu de temps après et les risques à distance.
Dans ce chapitre, nous développerons successivement les 4 types d’interventions suivantes :
Il y a chaque année, en France, plus de 37 000 nouveaux cas de cancer colorectal. Statistiquement la France figure parmi les pays où ce cancer est le plus répandu. C’est le deuxième cancer chez l’homme, après celui de la prostate (un peu plus de 60.000 cas par an) et le second chez la femme, après celui du sein (environ 42.000 cas par an).