Cancerologie

La chirurgie thoracique par thoracoscopie et la chirurgie pulmonaire robotique (chirurgie assistée par un robot)

L’intérêt de la thoracoscopie (diminution de la douleur post-opératoire, la rapidité de récupération, diminution de la durée d’hospitalisation) a conduit à adapter la thoracoscopie) et la chirurgie Robotique à la chirurgie du poumon pour la plupart des cas sélectionnés.

Complications post-opératoires

La chirurgie du poumon est une chirurgie spécifique dont les complications peuvent être très graves même si elles ne sont pas fréquentes.

Ces complications diminuent lorsque les interventions sont réalisées par une équipe entraînée.

La fuite pulmonaire entrainant le bullage prolongé du drain et donc un prolongement du séjour, est assez fréquente et gérée facilement par de la patiente.

Des complications infectieuses sont régulières comme la pneumopathie, nécessitant un traitement antibiotique, une pleurésie ou un pyothorax nécessitant une reprise chirurgicale.

Surveillance après traitement du cancer

La surveillance commence dès le début de la prise en charge. Initialement, la surveillance permet de connaître l’efficacité des traitements (marqueurs, Pet-scan, poids, …), de mieux coordonner les différents traitements (chimiothérapie, chirurgie…) et de dépister les principales complications observées avec le traitement.  Enfin la surveillance doit prévenir les séquelles tardives grâce à des mesures adaptées et précoces.

Quels sont les risques de l’intervention ?

Ces opérations sont bien codifiées et de réalisation courante, mais comme dans toute opération chirurgicale certaines complications peuvent survenir :

  • une réaction à l’anesthésie,
  • une infection,
  • un saignement,
  • une plaie d’un organe abdominal, surtout lorsque la dissection chirurgicale est difficile.

On retrouve, dans la littérature un taux moyen de complications survenant pendant l’intervention faible. Les risques de l’intervention sont de deux types.

Comment se déroule l’intervention ?

La première partie de la chirurgie consiste en une exploration complète de la cavité abdominale.

L’objectif de cette exploration est double, premièrement effectuer une cartographie de la lésion, et deuxièmement rechercher les causes de contre indications à une exérèse.

En effet en présence d’une atteinte du pédicule hépatique, ou du mésentère (intestin grêle), une chirurgie est contre indiquée.

Une fois la décision de chirurgie effectuée, on pratiquera une hystérectomie totale non conservatrice (ablation des ovaires), un curage pelvien.

Complications liées à l’intervention

Cette opération est bien codifiée et de réalisation courante, mais comme dans toute opération chirurgicale certaines complications peuvent survenir : une réaction à l’anesthésie; un saignement; une plaie d’un organe abdominal.

Les modifications locales découvertes lors de l’intervention ou l’apparition d’une complication inattendue peuvent conduire votre chirurgien à modifier l’intervention initialement prévue afin de tout mettre en oeuvre pour remédier aux difficultés rencontrées.

Quels sont les risques de l’intervention ?

Cette opération est bien codifiée et de réalisation courante, mais reste une intervention lourde, difficile et comprenant un taux de complications important.
Il peut s’agir comme dans toute opération chirurgicale de certaines complications comme une réaction à l’anesthésie, une infection, un saignement, une plaie d’un organe abdominal, surtout lorsque la dissection chirurgicale est difficile.