Pulmonaire et thoracique

Docteur, dois-je me faire opérer ?

La première étape est de faire le diagnostic de transsudat ou d’exsudat. Pour cela, une simple ponction pleurale sous anesthésie locale est suffisante. Elle consiste à prélever un échantillon de liquide pleural qui est confié au laboratoire. Si l’examen du liquide conclut à un transsudat, il n’est pas nécessaire de faire d’autres explorations pleurales puisqu’il ne s’agit pas d’une maladie de la plèvre elle-même, et il faut s’orienter vers une autre cause. Le traitement des épanchements transsudatifs repose sur le traitement de la maladie générale qui est responsable de la pleurésie.

Docteur, dois-je me faire opérer ?

Les traitements diffèrent selon le type de cancer, mais dans tous les cas, l’arrêt du tabac est impératif. Les cancers à petites cellules (les moins fréquents) bénéficient d’une chimiothérapie et ne relèvent donc pas de la chirurgie. Simultanément ou entre deux cures de chimiothérapie, le patient peut bénéficier d’une radiothérapie thoracique. En outre, une irradiation prophylactique du crâne contribue à prévenir la survenue de métastases cérébrales.

Docteur, dois-je me faire opérer ?

Le but principal de la médiastinoscopie est de prélever des ganglions du médiastin qui ont été vus sur le scanner ou sur la scintigraphie au 18-FDG (PetScan).

Elle n’a d’intérêt que dans des situations particulières.

Certaines maladies infectieuses nécessitent cette intervention mais c’est surtout dans le cadre de maladies dites « cancéreuses » que cette intervention intervient le plus afin de déterminer si ces ganglions sont atteints ou pas par la maladie.

Docteur, dois-je me faire opérer ?

En cas d’hyperhidrose légère ou modérée, certains traitements médicaux permettent une diminution des symptômes (type Hydrosal® ou Drysol®), mais seront souvent insuffisants en cas de gêne importante.

Certains praticiens réalisent l’injection de toxine botulinique dans les BOURDzones atteintes mais le traitement chirurgical, à savoir la sympathectomie thoracique haute par vidéo-thoracoscopie haute reste le traitement le plus radical de l’hyperhidrose palmaire handicapante.

Comment se passe l’intervention ?

Vous entrez à l’hôpital la veille au soir.

Il est nécessaire de réaliser une anesthésie générale avec une sonde d’intubation spécifique qui permet pendant l’intervention de laisser le poumon opéré au repos.

Il s’agit de réaliser une thoracoscopie qui évite l’ouverture large de la cavité thoracique. Lors de l’intervention, le patient est installé sur le côté.

Comment se passe l’intervention ?

Vous entrez à l’hôpital la veille au soir. Il est nécessaire de réaliser une anesthésie générale avec une sonde d’intubation spécifique qui permet pendant l’intervention de laisser le poumon opéré au repos. Dans la majorité des cas, elle est faite sans ouverture du thorax, par thoracoscopie. Par rapport à une chirurgie thoracique « conventionnelle », l’intervention par thoracoscopie consiste à remplacer une longue cicatrice et ses conséquences (sections musculaires, écartement des côtes…) par 3 orifices de 5 à 10 mm de diamètre, et dont le nombre est compris entre 3 et 4.

Comment se passe l’intervention ?

L’intervention est faite sous anesthésie générale soit à thorax fermé (Thoracoscopie) soit à thorax ouvert (Thoracotomie), en fonction de la taille de la métastase, de sa situation, de son caractère unique ou multiple, et de la nécessité ou non d’explorer l’ensemble du poumon. Dans les 2 cas, un fragment de poumon contenant le nodule est enlevé. Ce fragment est de petite taille et son ablation n’entraîne pas de conséquence sur la fonction respiratoire. On parle de « wedge resection ».

Comment se passe l’intervention ?

Vous entrez à l’hôpital la veille au soir.
Il est nécessaire de réaliser une anesthésie générale avec une sonde d’intubation spécifique qui permet pendant l’intervention de laisser le poumon opéré au repos.

Par rapport à une chirurgie thoracique « conventionnelle », l’intervention par thoracoscopie consiste à remplacer une longue cicatrice et ses conséquences (sections musculaires, écartement des côtes…) par 3 orifices de 5 à 10 mm de diamètre, et dont le nombre est compris entre 3 et 4.